Le dieu sur la montagne

Revenons un peu en arrière et au projet de Michaël : Il avait subdivisé l’esprit de ceux qui portent sa Lumière en six couches. Il avait un plan, un projet, et il devait trouver un peuple-test. Or, le peuple hébreu qui vivait en Egypte souffrait, et était porteur de sa Lumière. Un peuple (ou un individu) qui souffre constitue un terreau fertile, car il est plus apte à accueillir et accepter des changements, des nouveautés. En outre, la souffrance oblige à se remettre en question et rend apte à évoluer. Seule la souffrance ouvre la porte à l’évolution (du moins dans l’état actuel de notre niveau de conscience.) Ce peuple convenait donc parfaitement !

Michaël charge donc un elohim repenti, YHWH (un des 72 fragments renvoyés sur Terre de travailler à la purification (et se purifier lui-même), d’entrer en contact avec notre Moshe, tout nouvellement éveillé, pour l’inciter à repartir vers l’Egypte. (Ce n’est par hasard que tous les événements que vécut l’homme se produisirent. Il était sous l’influence et la guidance du fragment venant de Michaël).

Moshe, sur la montagne Sinaï (qui se nomme à cette époque Horeb), aperçoit un buisson en flammes qui ne se consume pas. Intéressons-nous à la symbolique de ces trois éléments.

• La montagne symbolise la rencontre du ciel et de la terre. Dans les traditions anciennes, la montagne est le séjour des dieux. (l’Olympe, par exemple). Elle symbolise également l’élévation vers le ciel (par ciel, il faut entendre fréquences vibratoires supérieures) et la possibilité d’entrer en communication avec la divinité.
On la représente souvent sous forme de triangle pointé vers le haut. (Tiens tiens, ceci ne vous rappelle rien ? Pourrait-on imaginer que les pyramides soient des montagnes artificielles, pour aller à la rencontre des dieux ?)

• Le buisson symbolise la présence de la divinité. Personnellement, j’irais plus loin dans l’analyse de cette symbolique. Un buisson est un petit arbre. Comment ne pas penser à l’arbre, et plus précisément à l’arbre de vie, symbole de la double hélice de l’ADN ?

• Les flammes. La flamme, comme le feu, symbolise à la fois l’âme, la purification, l’illumination.

A la lumière de ses symboles, nous pouvons comprendre l’événement du buisson ardent d’une autre façon.

Moshe a évolué grâce à sa traversée du désert. Le gène michaélique, greffé sur son arbre de vie intérieur, s’est activé. Il est à présent capable d’entendre le langage de son âme.
Comme tout être qui évolue, sa fréquence vibratoire a augmenté.
Ainsi, lorsqu’il fait paître son troupeau, dans le calme des grands espaces, son nouvel état d’être lui permet d’avoir accès à une information envoyée par YHWH, le dieu pré-adamique qui fréquente le lieu sur un autre plan vibratoire, mais que désormais Moshe est capable de percevoir.

(Illustration : tableau de Jean Tassel)

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