L’espace-temps gigogne

Notre espace-temps est semblable à une matrice (comme dans le film Matrix) dépendant d’un autre univers dont la densité de l’espace et du temps est différente et s’écoule différemment. Cet autre univers dépend lui-même d’un autre univers, et ainsi de suite.
Comprenez-vous les implications de ceci ? L’espace-temps dans lequel nous vivons (On l’appelle aussi matrice ou horizon) se situe entre deux autres espaces-temps, dont la fréquence vibratoire est différente, et dans lesquels le temps s’écoule différemment.

La Réalité, dans sa globalité (celle que nous percevons, et les autres), est donc constituée d’une série d’univers parallèles qui se superposent mais dont les temps et fréquences sont différents.
En tant qu’êtres humains, nous sommes immergés dans cette réalité globale ; mais notre niveau de conscience, et surtout notre « constitution », ne nous permet que d’en percevoir une petite partie. Les informations que nous percevons représentent la réalité de la matière telle que notre cerveau l’interprète : c’est la réalité que nous connaissons.

Pour raccourcir, on peut dire que le monde quantique, celui de l’énergie pure, se contracte par endroits, se fragmente par contraction, plus précisément, et modifie son taux vibratoire pour former un espace-temps (que je nommerai dorénavant horizon) particulier, qui lui-même se contracte par endroits pour former un autre horizon particulier et ainsi de suite. Le monde matériel, que nous percevons avec nos 5 sens, n’est qu’un de ces horizons.
Tout ceci n’évque-t-il pas le principe de la fragmentation dont nous avons déjà beaucoup parlé ? Si des entités, ayant leur fréquence vibratoire propre, se fragmentent, c’est qu’elles vivent dans des espaces-temps (donc des horizons) dont les fréquences vibratoires leur correspondent.

Comme le dit lui-même J.P. Garnier-Malet, « l’horizon observable d’une particule est toujours une particule évoluant dans un autre horizon. Ainsi, l’horizon infiniment grand d’une particule initiale n’existe pas pour les particules qui ont cette même particule pour horizon infiniment petit. C’est en donnant le changement d’échelle de temps et d’espace nécessaire entre l’infiniment grand et l’infiniment petit que cette théorie me permet d’unifier les lois de l’infiniment petit et de l’infiniment grand. » (http://www.garnier-malet.com/introduction_a_la_theorie_182.…)

En termes plus simples, et en ramenant ces propos à notre « échelle de référence humaine » :

"L’horizon observable d’une particule… "

• Considérons que l’être humain est une particule. Notre horizon observable est constitué de tout ce que nous sommes capables d’observer : la Terre, le ciel, le soleil, les étoiles…

"...est toujours une particule évoluant dans un autre horizon..."

• La part de l’espace que nous sommes capables d’observer est lui-même un « organe » appartenant à un autre espace-temps plus grand. C’est effectivement le cas, puisque nous savons que notre planète est un « organe » du système solaire ; le système solaire est lui-même un « organe » de la voir lactée… et ainsi de suite. Or, n’avons-nous pas vu ensemble que ce que nous percevons comme étant un soleil est une sorte de passage entre deux réalités aux fréquences vibratoires différentes ? (voir chapitre « Les étoiles et les soleils ».

"...Ainsi, l’horizon infiniment grand d’une particule initiale…"

• Pour l’être humain, l’horizon infiniment grand représente le niveau vibratoire supérieur au nôtre, c’est-à-dire la 4D.

"...…n’existe pas pour les particules qui ont cette même particule pour horizon infiniment petit."

• En même temps, pour les entités, les êtres de 5D, l’être humain n’est qu’un microbe insignifiant, inexistant pour eux.

Tout n’est qu’une question d’échelle de temps et d’espace, un temps se définissant par un mouvement périodique d’un espace dans l’horizon de l’observateur. Limitant les observations et les interactions, différents horizons peuvent donc définir différents écoulements du temps.

Selon JP Garnier-Malet, il existe sept horizons emboités les uns dans les autres.

Certaines personnes, comme les véritables médiums par exemple, ne font rien d’autre qu’accéder à l’horizon suivant et y puiser des informations. Les informations auxquelles ils auront accès sont simplement le futur potentiel le plus probable pour vous, en fonction de vos pensées dans le moment présent.
C’est pourquoi ce qu’un médium vous prédit ne va pas automatiquement se réaliser. Si, après l’avoir quitté, vous changez votre mode de pensée, vous modifiez votre niveau vibratoire et donc, attirez des potentialités différentes.

Être un médium sérieux implique donc une grande responsabilité. Le médium qui « voit » une ligne temporelle sombre pour une personne qui vient le trouver va, par honnêteté, expliquer le potentiel contenu sur cette ligne. Il est cependant indispensable qu’il insiste sur le fait qu’il s’agit du futur le plus probable. S’il ne le fait pas, le client, persuadé que son futur est inéluctable, va, de par cette foi, l’actualiser.
En outre, un véritable médium a la capacité d’agir pour faire sauter son client d’une ligne temporelle à une autre, simplement en l’aidant à modifier sa vision des choses, afin qu’il augmente sa fréquence vibratoire et attire de nouveaux potentiels, plus agréables.

On peut donc dire que le bon voyant est celui qui prédit des événements graves qui n’arrivent jamais. Les grands prophètes n’ont pas agi différemment : ils ont « vu » la ligne temporelle la plus probable d’un peuple ou de l’Humanité, SI et seulement SI ils ne changent pas leurs pensées collectives. Ils ont donc, par leurs paroles, mis en garde les générations futures.

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