Dédoublement du temps et de l’espace et être humain
Notre corps physique fait partie de notre espace-temps, de notre horizon matériel. Nous pouvons le toucher, le sentir, l’utiliser comme outil pour explorer et comprendre l’horizon particulier dans lequel il évolue : celui de la matière.
Cependant, nous ne sommes pas qu’un corps physique. Nous possédons plusieurs corps subtils, dont la densité est différente. De quoi s’agit-il ?
Rappelons-nous :
• Tout ce qui existe est énergie en oscillation, en vibration.
• Les humains sont des conglomérats d’énergie qui reçoivent et émettent des ondes vibratoires.
• Tout ce qui EST est un emboitement d’horizons particuliers dont le monde matériel ne constitue qu’une des poupées gigognes du Tout.
Notre être fonctionne tout-à-fait de la même façon puisqu’il n’est qu’une petite partie du TOUT. Ainsi, notre corps physique est lui-même un horizon particulier d’un autre horizon, et ainsi de suite. Ces autres horizons, pourtant, sont « nous » aussi, mais nous en avons perdu la conscience. Nous avons oublié les autres dimensions de notre Etre, et de ce fait, nous agissons comme si elles n’existaient pas.
En réalité, ce que nous pensons être « nous », en cet horizon matériel, n’est qu’une petite partie de ce que nous sommes vraiment. Cette petite partie est souvent appelée le « MOI ». Certains l’appellent aussi l’ « EGO », que nous connaissons à présent tous.
Chaque Humain existe dans différents horizons d’espace-temps (Pas dans tous ! voir point suivant), mais dans la matière 3D, il n’a conscience que de son existence limitée à cet horizon précis.
Quant à notre âme, multidimensionnelle, elle existe à la fois dans la 3D (placée dans notre cœur), mais aussi dans un autre horizon d’espace-temps auquel nous sommes en permanence connectés. (Ce qui est logique puisque chacun de nous, en tant qu’âme, est connecté à un des 144 000 fragments michaéliques passés en 4D, eux-mêmes fragments des 144, eux-mêmes fragments des 12 entités formées à partir de Michaël, enrichi de l’information des 72 élohim repentis. Nous avons vu tout cela.)
Ceci était connu de nos lointains ancêtres.
Les Grecs de l’Antiquité appelaient l’homme « Anthropos ».
Ana - th - Ropos ;
Le préfixe ana signifie, en ancien grec, « le retour à l’origine ».
Ropos signifie « le brouillon », et th représente le chiffre 9. (c’est le Teith de l’ancien hébreu)
A travers ce nom, ils voulaient exprimer que l’homme est une créature imparfaite qui vit dans le 9ème horizon de la Création, mais qui est vouée à revenir à son Créateur.
Ils utilisaient également le mot agguelos.
Ana - g - elos ; elos signifie « le messager », et g représente le chiffre 3. (Le Guimel de l’ancien hébreu)
Pour eux, l’agguelos était le messager du temps, vivant dans le 3ème horizon de la Création. Ce mot est devenu, en Français, le mot « ange », dont le concept a été déformé par les religions, qui cependant en ont gardé un concept flou ; celui de l’ange gardien. Il est présenté comme un être éthéré qui veille sur nous.
A la lumière de tout ce que nous avons découvert ensemble, nous savons aujourd’hui que le messager, c’est le fragment michaélique à la base de la création de chaque lignée porteuse de son ARN messager. Garnier-Mallet le nomme notre double. En réalité, c’est plutôt nous qui sommes un double de lui, à la fréquence plus basse. (Il est à noter que nous sommes donc nombreux à être les doubles d’une même entité.)
Selon les anciens Grecs, l’Homme n’était qu’un brouillon, et il devait, en suivant les conseils de son agguelos, s’améliorer pour atteindre la perfection et pouvoir revenir à son Créateur. N’est-ce pas exactement tout ce que nous avons découvert jusqu’à présent ?