Les ouvertures temporelles. Le 3 et le 40

Nous l’avons vu : le temps n’est pas un flux continu (comme nous le percevons), mais une succession de gouttes séparées par du « vide ». Ce « vide » est appelé « ouverture temporelle ».

Selon l’horizon, le temps ne s’écoule pas de la même façon.

Ainsi, si nous changeons de point d’observation et que nous nous plaçons du point de vue de notre double, une ouverture temporelle pour lui correspond à trois de nos jours.

Si nous nous reprenons le point de vue d’un terrien, une ouverture temporelle pour nous correspond à 40 jours dans le « futur », c’est-à-dire dans l’horizon qui se situe juste en-dessous de nous.

Nous en arrivons enfin à ces deux fameux nombres : le 3 et le 40.

Pour le fragment michaélique dont je suis issu(e), un temps imperceptible d’ouverture temporelle correspond à trois de mes jours.

Pour moi, un temps imperceptible d’ouverture temporelle correspond à 40 jours dans le temps quantique dans l’horizon suivant.

En illustration, j'ai mis une représentation schématique de cette réalité, pour mieux comprendre.

• Quelles sont les implications concrètes de cette découverte faite par Jean-Pierre Garnier-Malet ?

« Un seul échange d’information avec notre double arrange notre présent pendant trois jours en fonction d’un futur potentiel de 40 jours. » (Garnier-Malet)

Pas simple à comprendre, n’est-ce pas ? Concrétisons un peu plus ces explications !

Dans notre vie quotidienne, nous n’avons pas conscience des ouvertures temporelles. Ce sont des gouttes de vide que nous ne percevons pas (tout comme ce qui nous entoure et qui semble solide est constitué essentiellement de vide, nous l’avons vu.)
Notre ego n’a donc aucune conscience de tout cela. Par contre, notre âme est multidimensionnelle. Dans certains moments particuliers, elle a la faculté de se détacher de notre corps (pendant le sommeil paradoxal, parfois en méditation…). Elle s’engouffre alors dans une ouverture temporelle afin d’entrer en communication avec « son double michaélique », dont elle est en réalité un petit fragment.

En d’autres termes :

• Si JE (ego) me place en tant qu’observateur :
Je me pose une question importante. Par exemple, quel travail trouver qui me conviendrait parfaitement ? Je me concentre sur cette question, dans l’attente et la certitude joyeuses d’une réponse.
La nuit, mon âme quitte mon corps (décorporation) et rejoint l’entité dont elle est issue. Cette entité, mon double, donc, va lui donner les informations dont j’ai besoin pour répondre à ma question.
Lorsqu’elle revient dans mon corps, mon âme amène les informations à ma conscience sous forme de rêves, d’images, d’intuitions. Il me reste à les interpréter… et à les suivre ou non. Je conserve toujours le libre arbitre !

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