Maîtriser nos pensées, c’est essentiel !

« Le monde politique nous fait croire que la pollution industrielle modifie la planète. C’est vrai, mais c’est un pet de puce comparé à la pollution de notre futur, que nos pensées ont déjà créé.

La Terre est exactement comme nous : elle actualise le futur disponible, or ce dernier n’est pas brillant parce que nos pensées ne le sont pas. Changeons-les et la planète retrouvera l’équilibre dont nous avons tous besoin. » (Garnier-Malet)

Notre planète est fatiguée et manque d’énergie, parce que nous ne cessons de lui en pomper, au sens propre comme au sens figuré. Du coup, affaiblie, elle attire à elle des potentiels sombres, entre autres des météorites. En 2002, elle en a attiré deux sans que personne n’ait pu les prévoir. Ils sont passés tout près, et s’ils nous avaient percutés, la majorité des formes de vie aurait disparu.

Il est donc plus qu’indispensable de tous remonter notre fréquence vibratoire en fabriquant inlassablement des pensées positives, agréables. Cette façon de penser DOIT devenir une habitude. Imaginons-nous une vie heureuse, magnifique. Pour nous-mêmes et pour les autres.

En ce qui concerne nos pensées, il est également intéressant de nous référer aux langues anciennes, et dans ce cas précis, au grec ancien. Dans ce langage, créer par la pensée un potentiel dangereux se disait « amartanou ». On traduit également ce mot par « pécher ». Pécher signifie donc, avant tout, le fait d’avoir et d’entretenir des pensées négatives. En effet, toute pensée négative risque un jour de créer une réalité négative. Cependant, il existe un décalage de 40 jours entre le moment où la pensée est émise et le moment où elle est actualisable dans la réalité.

Vous commencez, je présume, à comprendre à présent le sens de l’Avent (instauré au VIème siècle par le pape Grégoire Le grand) et du Carême (Instauré au Concile de Laodicée au IVème siècle). Si ces deux temps liturgiques de 40 jours font référence aux 40 jours de jeûne de Moïse sur le Mont Sinaï et aux 40 jours passés dans le désert par Yeshua, ils avaient d’abord une fonction de jeûne, et donc d’économie de nourriture durant des époques où celle-ci devait être économisée. Mais durant ces deux fois quarante jours, les fidèles étaient exhortés à avoir des pensées vertueuses, à faire du bien autour d’eux. C’était une façon de créer des potentiels positifs pour les groupes d’hommes formant ensemble un peuple.

Chaque fois que nous avons des pensées positives, pour nous-mêmes, mais aussi pour notre prochain, chaque fois que nous PENSONS faire à autrui ce que nous aimerions qu’il PENSE à nous faire, nous nous libérons de tous les mauvais futurs, nous n’engageons pas notre propre responsabilité dans un futur mauvais, désastreux. Cette libération nous permettra, à la fin du grand cycle, d’être réunis avec notre double.

Les anciens pensaient qu’en pensant de cette façon, on empêchait que la parcelle créatrice dont nous somme porteurs ne meure. Cette absence de mort était nommée AMOROS (A privatif + Moros, la mort). Il s’agit d’un aspect très important de l’AMOUR DIVIN, que Yeshua essayera d’enseigner aux hommes durant sa vie publique.
Voici une interview très intéressante du Professeur Garnier-Malet :

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