Les dates des fêtes chrétiennes : quelques exemples de détournement.

Puisque Constantin et les évêques ont récupéré le mouvement chrétien, il est nécessaire d’y faire adhérer un maximum de personnes et de dissocier les fêtes chrétiennes des fêtes juives, sans doute pour faire oublier l’origine de Yeshua et s’approprier complètement ce qu’Il représente. En outre, il fallait attribuer aux Juifs le rôle des méchants qui avaient condamné le Christ. « Magnifique » manipulation de la part des pré-adamiques, leur fournissant un prétexte constant pour les persécuter de façon récurrente. Ils n’avaient pas encore pris conscience, en effet, de l’ampleur de la dissémination du gène adamique dans d’autres peuples que celui des Juifs. Par conséquent, c’était sur ces derniers que leur haine destructrice se concentrait.
Les dates des fêtes chrétiennes vont donc être calquées sur des dates importantes dans les cultes païens romains.

En voici deux à titre d’exemple :

Noël : fêté le 25 décembre.
Au moment du solstice d’hiver, avait lieu chez les Romains de grandes fêtes nommées « Saturnales », dédiées au dieu Saturne. Lorsque Jules César réforma le calendrier lunaire, alors en vigueur, pour adopter le calendrier solaire (Calendrier Julien – Calendrier SOLAIRE : tiens tiens !!! Ceci ne nous ramène-t-il pas à Akhénaton ?), le solstice fut fixé, par erreur, au 25 décembre. Et ce fut cette date qui fut retenue pour fêter la naissance de Jésus.
OR, il se trouve que Saturne, identifié à Cronos chez les Grecs, n’est autre qu’un dieu pré-adamique. Il est symbolisé par l’ anneau, en référence à la planète Saturne. La célèbre trilogie du « Seigneur des anneaux » n’est autre qu’une référence à Saturne, représenté par Sauron, dont l’œil surveille tout, voit tout. Tolkien était un initié !
Quant à ce fameux œil se Sauron-Saturne, il nous ramène à l’œil de Ra des Egyptiens. Il s’agit toujours de la même entité pré-adamique à laquelle des noms différents furent donnés au cours des temps.

La chandeleur : fêtée le 2 février, 40 jours (40, OUI !) après Noël
Cette fête commémore la présentation de Yeshua au Temple, ce qui était de tradition après la naissance d’un enfant chez les Juifs. Cette présentation devait se faire lorsque la mère était libérée des saignements post-partum.

Le 2 février fut choisi car, chez les Romains, on fêtait ce jour-là les Parentalia. Il s’agissait d’une fête en l’honneur des morts et du dieu Pluton. (Voyez comme on revient à nouveau à un dieu pré-adamique).
Lorsque le christianisme « officiel » se répandit en Gaule, il se trouve qu’à la même époque de l’année, on y fêtait le dieu Pan. Lors de cette fête, on cuisait une sorte de crêpe dorée qui symbolisait le soleil, qu’on offrait aux divinités de la nature pour s’assurer d’une bonne récolte. C’est de là que vient la tradition des crêpes à la chandeleur.

Le dimanche : jour consacré à Dieu

Au concile de Nicée, le dimanche fut déclaré « jour consacré à Dieu », aux rites et au repos.
OR, il se trouve que le dimanche, c’est le jour du Soleil. Ça ne se remarque pas en français, mais dans les langues germaniques, cette origine est restée : Sunday, Sonntag, zondag…
Rappelez-vous ? Qui a voulu instaurer un culte au soleil à l’époque d’Akhénaton ? Quel dieu est associé au soleil ? Ne s’agit-il pas du porteur de Lumière ?

A travers ces quelques exemples, vous pouvez constater de quelle manière le grand mouvement de libération des peuples fut récupéré par des entités et créatures pré-adamiques. Qu’importe ? Le grand Plan de Michaël, ce n’était pas cela !

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