Revenons un peu en arrière, après le départ de Yeshua

Comme je l’ai déjà mentionné, Yeshua a atteint la quintessence génétique de sa lignée, car Il l’a entièrement purifiée, ce qui lui a permis d’ascensionner.
Il ne faut donc pas que ses gènes se perdent. Pour cela, une descendance est nécessaire, descendance qui va progressivement répandre le gène adamique parfait dans la population humaine. Oui, Yeshua a eu une descendance, restée secrète durant plus de 2000 ans, et prête aujourd’hui à être révélée, mais pas de la façon dont vous l’imaginez !

Yeshua a ascensionné. Ses amis, et ils étaient bien plus de douze, ce chiffre étant symbolique, comme tout dans la Bible, se rassemblent régulièrement pour parler de lui, et surtout pour se rassurer : ils se sentent en danger. Les prêtres juifs et le pouvoir romain ne veulent pas que l’enseignement transmis se répande, ils le considèrent comme dangereux.
Parmi les fidèles, il y a une jeune femme : Marie Madeleine d’Arimathie, son épouse. Car oui, Yeshua était marié, et c’est une évidence : il était rabbin, or à son époque, un rabbin avait l’obligation d’être marié. Rester célibataire était considéré comme un péché.
Qui est Cette jeune femme ? Elle est apparentée à Yeshua, et tout comme lui, elle descend du roi David. Vers 56 ACN, un descendant du roi David, Matthat Ben levi d’Arimathie a quatre fils. Tous vont être liés à Yeshua et à son histoire.
• L’aîné se nomme Joseph ben Matthat d’Arimathie. D’une première épouse, il aura cinq enfants, dont une petite fille, Anna (Enygeus) de Judée, dont nous reparlerons ultérieurement. De sa troisième épouse, Mariam de Magdala, originaire du village de Migdal, il aura une fille à un âge plus avancé : Marie Madeleine d’Arimathie.
• Le second se nomme Jacob Ben Matthat d’Arimathie. Il aura deux enfants : Elisabeth d’Arimathie, la future mère de celui qu’on nomma, dans les traductions latines de la Bible, Jean le Baptiste, et Yossef Ben Jacob, le futur père de Yeshua.
• Le troisième se nomme Joachim Héli ben Matthat d’Arimathie. Il eut de nombreux enfants, dont la petite Marie-Anna, mère de Yeshua. (Elle a donc épousé son cousin)
• Le quatrième se nomme Zacharia Ben Matthat d’Arimathie. Il épousa sa nièce Elisabeth, fille de son frère Jacob.

Il est trop dangereux pour la jeune veuve de rester sur la terre palestinienne. Il lui faut fuir au plus vite, d’autant qu’elle n’est pas seule : vers l’an 27, elle a mis au monde une petite fille : celle de Yeshua. Elle se prénomme Sarah Damaris (Sarah est le faux nom qu’on lui donne, afin de la faire passer pour une servante ; Damaris est la transposition du prénom d’origine : Tamar). Il faut la sauver !
Joseph d’Arimathie, son père, est un riche négociant, membre du Sanédrin, qui toujours a soutenu secrètement Yeshua. Il affrète plusieurs bateaux sur lesquels embarquent secrètement tous les fuyards, dont sa fille.

Après plusieurs jours de mer sur la Méditerranée, deux embarcations vont accoster le long du rivage gaulois, près d’un petit hameau de pêcheurs. A bord, il y a, entre autres, Marie Madeleine, sa cousine Marie Jacobée, et Marie Salomé, et bien évidemment, la jeune Sarah Damaris, qu’on fait passer pour une servante égyptienne afin de garantir sa sécurité et son anonymat. C’est en souvenir des trois femmes adultes que ceux qui avaient gardé le souvenir de cet événement donnèrent au village, longtemps après, le nom de « Saintes Marie de la Mer ».
Dans la crypte de l’église du village, se trouve une statue, une « vierge noire », à laquelle chaque année les gitans d’Europe vont faire leurs dévotions. Ils la nomment « Sara la Brune ». En réalité, il ne s’agit pas d’une vierge, mais d’une statue représentant la jeune Sarah Damaris.

Les disciples seront bien accueillis par ce peuple pauvre, hostile à la domination romaine. Progressivement, ils vont apprendre la langue de la région et communiquer avec leurs hôtes. Ils raconteront ainsi les événements qu’ils vécurent en Palestine, et témoigneront de l’histoire de Yeshua, ce qui va beaucoup toucher ceux qui les écoutent. C’est ainsi que, loin des spéculations du pouvoir, l’enseignement de Yeshua et les pratiques initiatiques qu’il transmit se répandirent petit à petit dans la Gaule, jusqu’en Bretagne (Je parle ici de la Grande Bretagne.)

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