Histoire du monde, Histoire des Hommes

Pourquoi raconter le long passé de l’humanité ? Parce qu’à cause de la programmation de l’ego, notre cerveau agit de telle sorte qu’on ne voit que ce qui nous paraît possible. S’agit-il pour autant de la vérité ?
Quels que soient les événements du passés, chaque peuple, chaque civilisation sur Terre, est l’aboutissement, la conséquence de son histoire. Comment comprendre le sens de ce qui nous entoure et ce que nous faisons ici-bas si nous ignorons notre véritable passé ? Ce qu’on nous apprend dans les livres est-il suffisant pour expliquer notre réalité ? En partie, probablement. Pourtant, l’humanité y a-t-elle trouvé un sens à son existence, un fil conducteur lui apportant la compréhension de sa raison d’être sur Terre, voire des pistes de réflexion quant aux buts qu’elle a à atteindre ? Non ! Les leçons de notre enfance, reposant sur les dogmes des historiens, tout honnêtes que soient la plupart, ne nous ont pas encore permis de percer le grand mystère du SENS. Nous sommes dès lors en droit de nous poser la question : « L’Histoire qu’on nous apprend est-elle complète et correcte ? ».
Les spécialistes des civilisations anciennes apportent de nombreuses informations sur le passé, de plus en plus souvent, des découvertes archéologiques remettent en cause l’Histoire telle qu’elle fut « établie ». Malheur à celui qui découvrira un artéfact contredisant la soit disant vérité historique ! Soit il sera raillé et banni du cercle fermé de ceux qui « savent », soit il acceptera d’oublier sa découverte, et rien ne sera remis en question.
Les Egyptologues conventionnels, par exemple, continuent obstinément d’affirmer que les pierres ayant servi à la construction de la Grande Pyramide de Khéops furent taillées au burin, et transportées sur des rondins. Pourtant, si vous interrogez des ingénieurs en construction actuels, tous s’accordent à dire que c’est tout bonnement impossible !
J.H. Neale, conducteur de travaux pour la compagnie du tunnel de Montezuma en Californie découvrit en 1893, lors du percement du tunnel, dans la roche, sous la lave solidifiée, un mortier et un pilon façonnés dans de la pierre, des pointes de lances et une hache en silex. Ces objets se trouvaient dans des couches géologiques datées de 33 à 55 millions d’années par les géologues.
Dans la péninsule du Kamtchatka, à 200 km environ de Tigil, des archéologues russes (dont Yuri Golubev) de l’Université de Saint-Pétersbourg ont trouvé, solidifiés dans la roche, des fossiles imbriqués à des roues dentelées et des engrenages datés de 400 millions d’années.

« Il existe, dans la réserve poussiéreuse d’un musée, un bloc de feldspath qui fut rapporté en 1869 de la mine d’Abbey, près de Treasure City (Nevada, USA). Grosse comme le poing, cette pierre avait ceci d’étonnant qu’une vis métallique de 5 cm de long y était incorporée. On en distinguait nettement le cône et le filet régulier. Composée de fer, elle s’était oxydée, mais la pierre dure qui retenait les résidus avait fidèlement conservé son contour délicat. Le problème était que le feldspath renfermant la vis avait, d’après les estimations scientifiques, au moins vingt millions d’années de plus que l’homme ; cette pièce dérangeante fut donc expédiée à une académie de San Francisco et tranquillement oubliée » (CREMO et THOMPSON, L’histoire secrète de l’espèce humaine).

Près d’Ottosdal, en Afrique du Sud, des mineurs ont remonté près de 200 sphères métalliques en acier au nickel, étudiées par les professeurs de géologie Maclaver et Bisshof. Ces objets, de deux à 10 cm de diamètre, ont été extraits d’une couche rocheuse datée de 2,8 à 3 milliards d’années, âge confirmé par datation isotopique !!!

Des exemples, on en retrouve partout sur la planète. Les trouvailles sont en général reléguées dans la cave d’un musée, ignorées par les archéologues « sérieux », sous peine de voir leur carrière brisées si un quelconque crédit est accordé à ces découvertes. Malheur à ceux qui remettent en cause les dogmes confortables dans lesquels on se prélasse.

(Michaël Cremo et Richard Thompson ont relevé de très nombreuses anomalies archéologiques, c’est-à-dire des découvertes qui ne cadrent pas avec le passé tel qu’on nous l’enseigne, dans leur ouvrage « L’Histoire secrète de l’espèce humaine », que l’on peut trouver en pdf : l'histoire-secrete-de-lespece-humaine
En outre, quelques recherches sur le net vous permettront de découvrir d’autres ouvrages de ces auteurs, et d’autres informations sur les singularités archéologiques.)

l'histoire de l'humanite

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