Alors, quelle est la véritable signification de l’histoire de Moshe ?
Les événements historiques
Il n’existe aucune trace historique d’un Moïse ou Moshe en lien avec le récit biblique.
Selon moi, Moshe a véritablement existé. Il naquit probablement vers le XIIIème siècle ACN, sur la terre d’Egypte, pays dirigé par une entité pré-adamique, dans lequel vivaient de nombreux Hébreux, méprisés.
Fut-il d’ascendance hébraïque ? Oui ! N’oublions pas que son arrière-arrière-arrière-grand-père, Yagaro (Jacob) ben Isaac devint ministre d’Egypte sous le règne d’Akhenaton et fit venir nombre de ses pairs, dont ses frères et leur clan, sur la Terre égyptienne. Si les Hébreux ne sont plus considérés à l’époque de Séthi I, ils le furent trois générations plus tôt, et il est fort probable que certaines familles aient gardé un certain statut dans la société égyptienne, et s’y soient tout-à-fait adaptées.
Fut-il placé dans un couffin sur les eaux ? Nous entrons là dans un symbole.
Selon l’épigraphiste, historien et philologue André Lemaire, le patronyme Moïse/Moshe est d’origine égyptienne et a la même base que Môseh, Ahmosès, Toutmosès…
Des listes égyptiennes des XIV-XIIIème siècles ACN mentionnent dans la région du Mont Horeb des « Shasou de Yahô », Yahô en langue égyptienne étant YHWH, qui se prononçait certainement « Yhawoh ».
Dans ces temps anciens, la fuite de familles ou clans sémitiques d’Egypte était fréquente… Ces gens partaient vers le désert pour rejoindre le pays de Madian. Les découvertes de Lemaire attestent donc d’éléments racontés dans l’Exode.
Si nous ne trouverons jamais de traces archéologiques probantes, selon moi, Moshe vécut effectivement en Egypte, où suite à un méfait, il dut fuir. Dans le désert, il rencontra un peuple de culture hébraïque et se maria. Ces événements de vie le firent évoluer.
Tout comme aujourd’hui, des gens reçoivent des informations d’entités existant sur d’autres plans, Moshe fut sans doute channeling et reçut des informations et « ordres ».
Si Pharaon refusa de laisser partir les Hébreux de son pays, ce n’est sans doute pas pour garder une main d’œuvre bon marché, mais pour garder un œil… et un pouvoir sur un peuple qui porte la Lumière de Michaël. N’oublions pas que Pharaon est possédé par une entité pré-adamique rebelle.
Les sept plaies d’Egypte n’ont rien d’exceptionnel, si ce n’est, peut-être, l’ampleur particulière de la catastrophe cette année-là.
De façon récurrente, des algues rouges se développent dans les eaux du delta du Nil, ce qui prive le liquide d’oxygène. Les grenouilles sortent alors et meurent, les corps en décomposition attirant mouches et insectes nuisibles.
En ce qui concerne la mort des premiers-nés mâles Egyptiens, ceci ne ressemble-t-il pas à une récolte d’énergie ?
Moshe va effectivement inciter une série de famille auxquelles il est lié par le sang à sortir du pays Egyptien pour rejoindre une autre terre, en leur promettant une vie libre et agréable.
Le périple sera long et difficile, pour les hommes, mais surtout pour les femmes et enfants, et tous se rebelleront à plusieurs reprises, incertains du sort que Moshe leur réserve. Ils finiront cependant par rejoindre une région dans laquelle ils s’installeront : le pays de Canaan.
Selon l’Ancien Testament, Moshe n’aura pas l’occasion de fouler cette terre, puisqu’il mourra avant leur arrivée.
Ceci dit, à mon sens, lorsqu’on parle de Moshe dans l’Ancien testament, il faut lire les passages à deux niveaux de lecture. Le premier est celui dont nous venons de parler. Le second est le suivant :
Il faut entendre par « Moshe » l’ensemble des familles qui vont quitter l’Egypte et qui sont du sang d’Isaac.
